MONTRÉAL — L’augmentation du coût de nombreux biens de consommation a eu pour effet d’alimenter l’intérêt des Québécois pour l’économie circulaire, et particulièrement pour l’achat d’articles de seconde main. Or, les commerces qui se spécialisent dans la vente d’objets usagés sont eux aussi frappés par l’inflation, mais leur marge de manœuvre pour contrer ses effets est limitée.
Du côté de Renaissance, qui compte 34 adresses au Québec, c’est surtout l’augmentation rapide et soutenue des salaires qui est venue gruger la marge budgétaire de l’organisme.